Bonjour à toutes et à tous.
Déjà une année qui s’achève, je ne sais pas si c’est un sentiment partagé, mais je trouve qu’elle a vraiment passé très vite.
Est-ce le trop plein d’activités toutes plus anxiogènes l’une que l’autre qui génère cette perception du temps qui s’écoule.
Nous allons de crise en crise et l’une n’est pas terminée qui la suivante vient se superposer.
Qu’on le veuille ou non les événements extérieurs ont un impact sur notre vie quotidienne.
La guerre en Ukraine est l’événement le plus notable de cette année, acte belliciste s’il en est d’un dirigeant d’un pays membre du Conseil de sécurité de l’ONU. Face à cette agression nous sommes amenés à nous poser des questions sur la sécurité du territoire européen. Heureusement le monde occidental a bien réagi et soutient (pour combien de temps) massivement l’Ukraine.
A ce sentiment d’insécurité qu’il faudra bien apaisé par une augmentation des budgets militaires, il faut affronter les dérèglements économiques engendrer par le conflit.
Le Covid nous avait montré les limites de la mondialisation, le conflit en Ukraine vient renforcer la nécessité de mettre des freins à ce concept qui engendre beaucoup plus d’inconvénients que d’avantages. Qui ose encore croire à « la mondialisation heureuse ».
Toutes ces pénuries arrivent en cascade et pèsent sur notre quotidien, et en érodant le pouvoir d’achat pour la montée du prix de l’alimentation et surtout de l’énergie.
Actuellement les pouvoirs publics envisagent pour le mois de Janvier – si une période froide a lieu – de délester à tour de rôle une partie de la population. !!!.
Et avec ça il faut garder le moral. Pour ce faire rien de tel que de penser aux fêtes de fin d’années et on l’espère une future nouvelle année moins chaotique que 2022.